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Séries Tv à Foison

1 février 2019

158. Fermé pour cause de Transformation....

sorry

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1 février 2019

157. Philip K. Dick's Electric Dreams Saison 1

Electric Dreams Poster

Genre : Série tv anglo-américaine d’anthologie (SF) créée par Ronald D. Moore et Michael Dinner pour la chaîne Channel 4 et amazon video.

Année : 2017

L’histoire : Chaque épisode raconte une histoire différente inspirée de l’œuvre de Philip K. Dick.

 A propos de la série :

Cette saison compte 10 épisodes de + ou - 45 minutes.

Critique de ber :

Bien sûr qu'il y a tjs à boire et à manger dans ce type d'anthologie. Et le premier vocable qui vient à l'esprit quand on entend parler de l'entreprise d'adapter Dick au format série est sûrement "casse gueule. Donc au vu du résultat (correct), je vais m’appesantir sur trois pépites que renferment selon moi cette saison 1 :

1.Real life : Un superbe exercice de style où une Anna Paquin fliquette et gouine s’échappe dans une sorte de vie virtuelle assistée pour essayer de surmonter un trauma. En ressort un malin jeu de miroir entre vraie vie et vie virtuelle sans qu’on ne sache plus à quel saint se vouer…

 

2. Safe and sound : Une très bonne réflexion sur l'hyper sécurité.

 

3. Autofac : Le meilleur segment qui voit une entreprise robotisée continuer à livrer des colis alors que l’être humain est en extinction. Une poignée de survivant va tenter le tout pout le tout pour effacer cette dernière trace de la société de consommation. La révélation au bout de leur voyage vaudra son pesant d’or…

 

3 décembre 2018

156. Broadchurch saison 3

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Genre : Série tv britannique (Drame policier) créée  par Chris Chibnall pour la chaîne ITV.

Année : 2017

L’histoire : Trois ans ont passé depuis la mort de Danny Latimer et le procès de Joe Miller, qui l'a vu ressortir libre. Alec Hardy et Ellie Miller ont une nouvelle affaire : Patricia Winterman a été violée lors d'une soirée et les premiers éléments indiquent qu'un prédateur sexuel est dans les environs de Broadchurch…

 A propos de la série :

Cette ultime saison compte 8 épisodes de + ou - 45 minutes.

Critique de ber :

20/20 pour cette 3ième livraison de Broadchurch! Tout y est parfait. L'instillation d'une nouvelle enquête autour d'un viol d’une cinquantenaire bien sous tous rapports. On suit de façon clinique la déposition de la femme mûre pour un premier épisode soigné qui secoue de façon viscérale. S'ensuit le contexte avec une fête dans un manoir isolé où tous les convives se connaissaient. La série embraye dans ce qu'elle sait faire de mieux : rendre tout le monde un peu suspect et petit à petit, des bribes de secret d'alcôve vont être éventés. Et ce qui est génial, c'est que l'on suit également les retombées du meurtre du petit Lattimer sur sa famille car sa maman aura un rôle passif dans l'enquête (elle s'est recyclée dans l'écoute aux victime).

Cela monte crescendo mais à petit « à coups » et l'on en sort avec une réflexion multiple sur la paternité, le deuil ou encore les nouvelles technologies et ses dérives.

Un grand coup de chapeau pour ces huit épisodes qui se suivent avec passion et une enquête qui ne cesse de rebondir et trouver aussi des échos dans le passé quand d'anciennes victimes non recensées se font connaître.

La trame autour de ce violeur en série nous réserve un épilogue à l'avenant : étonnant et glaçant à la fois ! Grandiose messieurs les créatifs !

Note : lire plus haut !

Ber

 

30 novembre 2018

155 Daredevil saison 3

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Genre : Série tv américaine (Action-Superhéros)) créée par Drew Goddard pour la chaîne Netflix

Année : 2018

L’histoire : Matt Murdock a survécu à l'effondrement de la tour de Midland Circle. Mais alors qu’il essaie de se faire oublier, Wilson Fisk va resurgir avec de nouveaux alliés et avec un plan destiné à détruire à la fois Matt Murdock et Daredevil.

A propos de la série :

La saison compte 13 épisodes de 45 min.

Critique de ber :

L' on avait laissé Matt pour mort à la suite du final des Defenders.  L’ultime image nous laissait présager une adaptation du Born Again de Frank miller (saga culte de la bd). Si les premiers épisodes ont du mal à exprimer à l'écran le "fond du trou" dans lequel s'enfonce peu à peu Matt (dans le comics, on a tous en mémoire le côté dépravé et suicidaire du héros), il faut bien avouer que la suite des épisodes épouse assez fidèlement l'état d'esprit de la série sur papier.

 

Surtout grâce à une très bonne adaptation des personnages qui gravitent autour de Matt. Que ce soit ses proches (un Foggy brave à souhait et Karen, toujours éprise de Matt  en journaliste jusqu’au-boutiste pour laquelle sera dédié un super épisode pour s’imprégner de ses origines) ou pour ses ennemis (un Kingpin toujours aussi machiavélique même si ses stratégies passent un peu moins à l’écran que dans le comics). Le tour de force réside selon moi sur la création du personnage du Tireur. On suit sa lente descente aux enfers de policier un poil dérangé à un criminel imparable manipulé par plus malin que lui. Superbe performance de l’acteur Wilson Bethel !

 

La série trouve son rythme vers l’épisode 4 où Matt investit une prison pour glaner des infos. Cette scène de bravoure marque le début d’une succession d’épisodes foisonnants et montant crescendo suivant un scénario aux millimètres.

 

On pourra reprocher simplement à la série de ne pas réussir à mettre de la folie dans son final. Même si tout est exécuté dans les règles de l’art l’épilogue fait le job sans toutefois nous ébahir.

 

Très bon cru pour un Daredevil qui, on vient de l’apprendre, ne jouera pas les fanfarons pour une quatrième fois. Je trouve que c’est judicieux et espère que Netflix trouvera de nouveaux angles intéressants pour perpétuer l’univers Marvel à la télé de façon qualitative.

 

Note : 16/20

 

Ber

 

 

16 octobre 2018

154. Preacher saison 2

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Genre : Série tv américaine (Comédie noire-Surnaturelle) créée par Seth Rogen, Evan Goldberg et Sam Catlin pour la chaîne AMC

Année : 2017

L’histoire : Après la destruction de son village, Le révérend Jesse Custer et ses deux complices partent à la recherche de Dieu. Ce dernier aurait tout bonnement déserté le Paradis…  

A propos de la série :

La saison compte 13 épisodes de 45 minutes. Adaptation du comics trash éponyme de Garth Ennis et Steve Dillon

Critique de ber :

Je vais le dire tout de go mais cette deuxième livraison est un peu en dessous de sa prédécesseure. Je vais l'illustrer sous forme de tableau binaire :

J'ai Aimé: Les premiers épisodes sous forme de road movie classique à l'américaine mais...

J'ai Pas aimé: ...la menace du Saint des tueurs à leur trousse a tout de la rengaine scénaristique un peu poussive. (Nb : cela se réglera vers le 5ième épisode tout de même)

J'ai Aimé : L'exposition d'Herr Starr et de sa fameuse compagnie du Graal. Haut en couleur comme dans le comics !

J'ai pas Aimé : Le traitement de Tulip. Lorsque son passé marital la rattrape, cela leste le rythme. Et quand le Graal envoie une de ces sbires pour se nouer d'amitié avec elle, on a peine à croire au subterfuge.

J'ai Aimé : Cassidy en pleine crise de conscience lorsqu'il est confronté à son fils-vieillard avec en prime une réflexion sur l'euthanasie mais...

J'ai pas Aimé : ...la résolution du dilemme n'apportera finalement aucune plus-value à l'intrigue.

J'ai Adoré : Les arcanes de l'Enfer que nous découvrons à travers les yeux de Tronchedecul! Et que dire de son pseudo buddy-movie avec Hilter lorsqu'il sera question de s'évader. Du petit lait!

Voilà un éventail de mes sentiments au sortir de la saison. Il y aussi plein de nouveaux éléments (le trafic d'âmes, le descendant de Jésus qui a les traits d'un débile mental) et une porte s’entrouvre sur la jeunesse de Jesse avec sa Grand-mère un poil flippante. Sûrement un œil dans le trou serrure du chantier de la saison 3. On reste également un peu hermétique au choix de Jesse d'endosser le rôle du Messie sous l'égide de Starr. On le sent en pilote automatique mais un incident de fin de saison le sortira d'une certaine torpeur. Et là, on a droit à la meilleure scène de la saison. Une confrontation sanglante mais tout en émotion entre les 3 anti-héros. Une dispute domestique qui se refermera sur un plan magnifié, qu'on dirait tout droit sorti du comics. On voit les trois larrons mutiques reprendre la route comme si de rien n'était. Pourtant l'un des trois est un macchabé…

Malgré ces imperfections, la série continue à susciter l’envie de découvrir la suite. L’essentiel est sauf…

Note : 14,5/20

 

 

 

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16 octobre 2018

155. Fargo saison 3

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Genre : Série tv américaine (Anthologie-Comédie noire) créée par Noah Hawley pour la chaîne FX

Année : 2017

L’histoire : En 2010, dans le Minnesota, Emmit Stussy, un homme d'affaires renommé dans le monde du parking, vit une vie calme et opulente tandis que son frère jumeau Ray mène une vie difficile et enchaîne les mauvais coups. Alors que Ray a blâmé son jumeau toute sa vie pour ses échecs, l’arrivée d’une personnalité mystérieuse va changer la donne…

A propos de la série :

La saison compte 10 épisodes 50 minutes. La série est basée sur le film Fargo  des frères Coen.

Critique de ber :

Difficile de passer après une deuxième saison aussi réussie. Pourtant cette livraison fait mieux que se défendre. Durant quatre ou cinq épisodes, on reste scotché au scénario échevelé conçu par les créatifs. Tout s’imbrique bien : la situation improbable du tueur qui se trompe de victime, les deux jumeaux en pleine guerre ouverte, le malfaiteur qui va phagocyter l’entreprise du frère friqué et les deux fliquettes perspicaces à souhait. L’ADN du film est respecté et tout a l’air de couler de source lorsque les engrenages de vie des deux héros vont fameusement se gripper.

 

Pourtant, au fil des épisodes, la fluidité va s’étioler. Peut-être que la trame a du mal à tenir sur 10 épisodes. C’est bien dommage car les acteurs sont tous bons. En première ligne, on note la très bonne performance d’Ewan McGregor qui joue la paire de jumeau sans en faire des tonnes pour les différencier.

 

On finit par se dire que les derniers retournements de situation (toute la deuxième partie où la sculpturale Nikki Swango éplorée va s’évader d’un fourgon pénitentiaire et va faire chanter le malfrat) semblaient être une bonne idée sur papier mais qu’à l’écran, on crisse des dents tant cela paraît improbable.

 

Maintenant aucun mal n’est fait. Le matériau d’origine est somme toute bien respecté et comme on est dans une série d’anthologie, on se dit que Noah Hawley ne peut que rebondir pour la quatrième cuvée qui est annoncée pour 2019…

 

Note : 14/20

 

Ber

2 octobre 2018

153. Non uccidere saison 1

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Genre : Série tv italienne (Policier) créée par Claudio Corbucci pour la chaîne RAI

Année : 2015-2016

L’histoire : L'inspectrice Valeria Ferro de la police judiciaire de Turin y conduit des enquêtes qui l'amènent à pénétrer au cœur des milieux et des familles les plus divers. Elle-même vit une période troublée par le retour de sa mère condamnée pour le meurtre de son mari.

A propos de la série :

La saison compte 12 épisodes de 45min. Elle est diffusée en France sur Arte qui rebaptisera la série Squadra Criminale.

Critique de ber :

Il est clair que cette série ne révolutionnera en rien le monde de la télé mais elle n'est pourtant pas dénuée de qualités majeures. Tout d'abord son format diffère des standards du genre. Ici on a droit à 12 épisodes. Et tous les deux épisodes, il y a la résolution de l'enquête en cours. Cela donne un certain rythme d'emblée mais il faut bien avouer que l’intérêt pour les différentes investigations est un peu inégal. J'ai trouvé que dans les deux dernières enquêtes (le matricide et l'assassinant dans le milieu musulman), le programme gagnait en subtilité et était bien en phase avec la société dans laquelle on vit.

Mais en fait la grande qualité de la série réside dans son interprète principale. La belle Miriam Leone campe une inspectrice hors norme qui mise tout sur ses intuitions et son sens de la déduction. En jouant la sobriété, cette nouvelle héroïne télévisuelle crève tout bonnement l'écran. Et quand les créatifs trouvent un écrin intelligent lorsqu'est évoqué le quotidien de l'inspectrice (elle s'est emmourachée de son supérieur hiérarchique et sa mère, condamnée pour le meurtre de son mari, sort de prison dès les premiers épisodes), le fil conducteur entre les épisodes se trace de lui-même et le spectateur d'être pendu aux derniers bouleversements scénaristiques.

Une bien belle réussite en espérant que la série continue son petit bout de chemin en n'abandonnant pas son sillon qui la démarque de la kyrielle de programme du genre...

Note : 16,5/20

 

 

23 août 2018

152. Preacher saison 1

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Genre : Série tv américaine (Comédie noire-Surnaturelle) créée par Seth Rogen, Evan Goldberg et Sam Catlin pour la chaîne AMC

Année : 2016

L’histoire : Au premier coup d'œil, le révérend Jesse Custer n'a rien de spécial. Après tout il n'est qu'un homme d'église d'une petite ville, perdant peu à peu ses fidèles et laissant s'éteindre sa foi. Mais il va bientôt avoir la preuve que Dieu existe bel et bien. Et qu'"IL" est un sacré fils de... Avec sa petite-amie Tulip et un vampire nommé Cassidy, le voilà parti sur les routes américaines pour le trouver...

A propos de la série :

La saison compte 10 épisodes de 45 minutes. Adaptation du comics trash éponyme de Garth Ennis et Steve Dillon

Critique de ber :

Pour moi Preacher n’a qu’un seul gros défaut : son pilote. A trop vouloir être dans la démonstration de l’univers dans lequel est puisé l’histoire, les créatifs mettent beaucoup trop d’éléments (personnages ou situations) afin d’en mettre plein la vue. L’indigestion se fait ressentir et j’avais abandonné la série à la première vision. Heureusement, elle s’est remise sur mon chemine et la grosse claque a enfin pu être assénée à mon cœur d’aficionado.

 

Tout est quasiment parfait dans le cheminement de la destinée de notre anti-héros qui se voit investi d’un pouvoir incommensurable mais difficilement utilisable à bon escient. Il va pourtant s’évertuer à faire le bien mais au risque et péril de ses chers paroissiens !

 

Tout est fabuleusement dosé que ce soit le présent qui va voir cette petite bourgade lentement se déliter jusqu’au passé qui va rattraper Custer sous les traits de la pétaradante Tulip, une sorte d’ange vengeresse toujours à fleur de peau. Et que dire de Cassidy, ami vampire de Jesse, qui apporte sa touche humoristique mais dans le côté trash de la chose.

 

Cela reste très fidèle à l’œuvre original sans dépasser les bornes car le comics allait franchement loin dans le gore et le sexe à tout va. Voilà une série qui a compris le terme adaptation en ne reconstituant pas à la lettre les pages de la bande dessinée. Alléluia !

 

Et des personnages cultes de prendre alors vie à l’écran : le jeune Tronche-de-cul qui après une tentative de suicide avortée traîne son mal-être dans un morose quotidien ou encore Odin Quincannon, grand nabab local, qui ne vit que dans la démesure et dans le mépris de son prochain. Le pied !

 

J’ai l’impression que tout fonctionne ! Que ce soit les deux anges irrésistibles, sapés comme deux VRP, bien décidés à délester Jesse de son nouvel hôte (un démon donc qui lui permet d’ordonner ce qu’il désire à quiconque) jusqu’à l’apparition d’un pseudo Dieu devant une foule en épiphanie !

 

On ne boude pas son plaisir et on constate les dégâts lors du dernier épisode qui raye de la carte un patelin entier ! Et là, on espère que le road-movie que l’on a dévoré sur papier trouvera un aussi bel écrin dans la saison deux de la série. Tous les espoirs sont permis !

 

Note : 19/20

 

Ber

20 août 2018

151. Legion saison 2

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Genre : Série tv américaine (Drame-SF) créée par Noah Hawley pour la chaîne FX

Année : 2018

L’histoire : Kidnappé mystérieusement, David Haller revient amnésique de l’année écoulée. Une mission s’impose peu à peu à lui : retrouver le corps originel du Roi d’Ombre avant que ce dernier ne s’en empare…

A propos de la série :

La saison compte 11 épisodes d’une quarantaine de minutes. Première série tv dérivée de l’univers des X-men transposé au cinéma sous la houlette de Bryan Singer

Critique de ber :

Toujours en mode OVNI, Legion gagne selon moi en lisibilité lors des deux premiers épisodes. Même s’ils sont dictés par une messagère du futur, les tenants et aboutissant de cette saison ont le mérite de remettre le spectateur sur les rails d’un scénario qui nous malmenait pas mal lors de la saison 1.

Malheureusement cela ne durera pas. Dès le troisième segment, les créatifs reprennent de plus belles les sentiers d’un exercice de style visuel et narratif qui ne cessent de nous perdre en chemin. Le problème est que l’effet de surprise est passé (la première saison est passée par là). On se trouve alors selon moi devant une série qui manque totalement de « corps » à force de jouer la carte du mystère insondable.

Heureusement l’ultime épisode sauvera ce qui peut encore l’être. Pour ceux qui n’ont pas lâché l’affaire (les audiences sont désastreuses), on est gratifié d’un combat final assez flamboyant entre David et Farouk. Sous forme astrale (géante), les deux protagonistes vont emprunter les voies d’un manga animé assez violent. Malin.

Le plan final ne sera pas en reste. C’est devant un retournement ahurissant des rôles (malgré les innombrables séances en voix off qui annonçait que le bien et le mal était une question de point de vue) que nous resterons quelque peu coi. Et que dire du petit miracle qui voit la série reconduite pour une troisième aventure ! Une série vraiment hors norme…

 

Note : 11/20

Ber

24 mai 2018

150. Game of thrones saison 7

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Genre : Série tv américaine (Fantasy) créée par David Benioff et D. B. Weiss pour la chaine HBO (USA).

Année : 2017

L’histoire : L'hiver est enfin arrivé sur le continent de Westeros. Dans le Nord, les Stark se sont réunis à Winterfell tandis que Daenerys Targaryen s'installe dans la cité de Peyredragon. À Port-Réal, les Lannister, plus que jamais esseulés doivent s'efforcer de conserver le pouvoir. Les Marcheurs Blancs, quant à eux, mené par le Roi de la nuit s'amasse de l'autre côté du Mur, bien décidé à le détruire pour entrer dans le monde des vivants et y anéantir toute vie qui s'y trouve…

A propos de la série :

Cette saison compte 7 épisodes de 52 minutes. Le programme se base sur une série de romans de fantasy écrits par George R. R. Martin.

Critique de ber :

Avant dernier rendez-vous avec la série culte des années 2010. Sur 7 segments, Game of thrones va poser les jalons d'une ultime saison qui se regardera, selon eux, comme un long métrage à chaque épisode.

 

Ici, la première scène a l'art de faire son petit effet. Faisant suite à une ouverture paisible sur une réunion de clan festive, la scène se transforme en un empoisonnement collectif en bonne et due forme. Le ton est donné !

 

Ensuite, on est tout de suite dans le bain dès le premières minutes. On revient dans le grand échiquier où chacun va essayer de trouver le meilleur stratagème afin de conforter ses positions. C'est passionnant durant quatre épisodes qui nous offriront leur lot de combats (mais pas trop) et des alliances plus ou moins éphémères entre partis qui trouvent des objectifs communs à court terme. Si la suite va un peu tanguer c'est dû à un cahier de charge à respecter au vu de la petitesse de la saison. Il y a deux pans de scénario qui vont se trouver "bâclé" à cause d'un traitement trop hâtif au vu des échéances du dernier épisode. Je parle du rapprochement sentimental entre Jon Snow et Daenerys (ses œillades ultra appuyées sont franchement surjouées) et de l'épisodes décisionnel et pragmatique pour apporter la preuve de l'existence de l'armée des morts à Westeros.

 

Heureusement le dernier segment prendra le temps de tout remettre en perspectives avant le grand final. Cet épilogue se jouera par la parole où une alliance va tenter de se forger au milieu d'une arène (magnifique site d'Italica, vestige d'une ville romaine construite en Espagne). Sous haute tension, ce sommet se jouera en parallèle d’une grosse scène de destruction qui verra une fortification naturelle s’écrouler sous les feux d’un dragon zombifié…

 

C’est quand la suite ?

 

Note : 17,5/20

 

Ber

 

 

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