123. Jessica Jones saison 1

Genre : Série tv américaine (Action-Superhéros)) créée par Melissa Rosenberg pour la chaîne Netflix

Année : 2015

L’histoire :

Jessica Jones, souffrant de stress post-traumatique à la suite d'une confrontation avec Kilgrave, a remisé ses envies d'être une super-héroïne au placard afin d'ouvrir une agence de détective. Malgré le soutien de Patricia Walker, sa sœur adoptive, elle ne parvient pas totalement à tourner la page. Lors d'une nouvelle enquête, ses anciens démons vont resurgir.

A propos de la série :

La série met en scène le personnage de Jessica Jones faisant partie de l'univers cinématographique Marvel, la série fait aussi partie des quatre séries de Marvel qui se retrouveront dans la mini-série The Defenders, toujours sur Netflix.

La saison compte 13 épisodes de 45 min.

Critique de ber :

Prologue: Un générique au poil qui rend hommage aux crayonnés de Michael Gaydos, le dessinateur du comics originel. Une ambiance "détective privé" pour bien se démarquer des canons du genre super-héros. Et des personnages tout a fait raccord avec les héros du comics.

Développement: Construit autour d'un seul arc narratif (Jessica face à Kilgrave a.k.a. L'Homme pourpre), la série se consomme comme du petit lait entre clin d’œil à la bd ( commentaire sur les avengers ou sur la récente apparition de Daredevil, la couleur pourpre dans l'environnement proche de Kilgrave, l'Infirmière qui scelle le lien avec l'univers de DD au dernier épisode) et clifhanger de fin d'épisodes.

Interlude: Malheureusement la trame scénaristique a du mal à tenir sur les 13 épisodes. On n'évite pas l'écueil de la redite au fil des confrontation entre les 2 ennemis et les personnages secondaires ont peine à faire émerger l'intrigue (le papa de Killgrave capturé par ses soins pour potentialiser son pouvoir   bof bof)

Epilogue: Heureusement tout ce petit ventre mou de milieu de saison découle sur un épilogue des plus réussi. Avec un Kilgrave qui manipule tout le personnel d'une gare maritime avec en prime une petite séance de manipulation mentale de Luke Cage donnant lieu à un affrontement épique avec Jessica. L'happy end est, comme attendu, en mode clair-obscur, laissant sur le carreau une Jessica, du sang sur les mains, dans un grand no man's land affectif sur sa relation amoureuse avec Luke.

On attend la suite…

Note : 14,5/20

Ber