Genre : Série tv américaine (Drame fantastique) créée par Damon Lindelof et
Tom Perrotta pour la chaîne HBO (USA).

Année : 2014

L’histoire :

2% des êtres humains ont disparu de la surface de la Terre sans la moindre explication, dans une sorte de ravissement. Trois ans plus tard, la vie a repris son cours dans la bourgade dépeuplée de Mapleton (New-York). À l'approche des cérémonies de commémoration, le shérif Kevin Garvey a fort à faire face à une secte aux revendications mystérieuses...

A propos de la série :

Il s'agit de l'adaptation du roman homonyme (Les Disparus de Mapleton en français) de Perrotta. Chaque saison compte 10 épisodes de 52 minutes.

Critique de ber :

Je ne vais pas passer par quatre chemins. C'est vraiment en égard à Damon Lindelof (au manette du cultissime Lost) que j'ai atteint la mi-saison car le programme n'a jamais trouvé grâce à mes yeux.

Si, peut-être pendant 5 minutes au fait. Du fait de son aura mystérieuse à la lecture du pitch sur le net et de la réussite de sa scène d'ouverture qui plante magnifiquement le décor en quelques images chronos (une maman qui voit se volatiliser son bambin alors qu'il était attaché à son siège-bébé).

Après ça, le déluge….un déluge mystico-oecuménique pompeux qui voit converger ses ressorts sur la destinée d'un shérif de banlieue (Justin «Belle-gueule» Théroux). Sa femme a rejoint une secte née aux lendemains du ravissement. Bien décidés à empêcher le monde d'oublier l’événement, ses adeptes ont fait vœux de silence et se postent çà et là pour déranger les citoyens qui continuent à vivre «normalement» Leur credo majeur: Fumer cigarette sur cigarette pour affirmer leur foi!

Ajoutez dans le giron du même shérif, une fille paumée pour illustrer une jeunesse décadente (sujet ultra rabâché!) et un beau fils en vadrouille dans les basques d'un Mage qui dérange les autorités. N'en jetez plus!

Au plus ça avance, au plus le marshall commence à perdre pied suite à une situation qui dégénère dans sa ville: une membre de la secte est assassinée par lapidation. On n'est pas à une métaphore religieuse près, non?

Si le Justin Théroux perd pied, le spectateur, moi donc, lui aussi abandonne l'affaire devant cette soupe indigeste telle une hostie frelatée…

Note: 5/20

Ber

115. The Leftovers saison 1

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